K-Detox
de Lou Fauroux
En présence de l’équipe du film
En Compétition 2025
Séances
samedi 11 octobre 2025 | 15h00 | UGC Ciné Cité Bordeaux Gambetta
Réserverdimanche 12 octobre 2025 | 13h45 | Utopia
RéserverSynopsis officiel
Après une série de catastrophes géopolitiques, l’humanité réapprend à habiter un monde post-internet. Dans un centre de désintoxication conçu par le clan Jenner-Kardashian et Mark Zuckerberg, des patient·e·s d’une thérapie collective partagent les souvenirs de leur vie passée et de leur ancien environnement digital.
L'avis du FIFIB
Et si le capitalisme s’appropriait aussi la déconnexion ? C’est l’hypocrisie parfaitement contemporaine que Lou Fauroux met en scène dans K-Detox : un trip en 3D halluciné au cœur d’un stage de digital-detox animé par la famille Kardashian. S’y croisent divers personnages cultivant des addictions modernes (gamer en sevrage, lesbienne lassée des applis de rencontre, crypto-queen et même Mark Zuckerberg en personne qui se serait repenti). Derrière son allure futuriste, le film transpire la nostalgie : références nineties, esthétique clinquante, B.O pop. K-Detox trace avec une justesse ironique le portrait d’une génération qui n’a jamais connu le monde sans internet, la satire d’une era où la trend est à la déconnexion.
Emma Piquart, Simone Gournay
Biographie/filmographie

Lou Fauroux (née en 1998 à Mulhouse) développe une pratique de la vidéo et de l'installation centrée sur les technologies numériques, leurs interactions avec les humains et la manière dont ces technologies structurent les dynamiques de pouvoir actuelles et futures générées par Internet (GAFAM...) tout en spéculant sur ses failles et sa chute potentielle. Son premier court métrage « WhatRemains, Genesis » (2023) a été présenté au Cinéma du Réel. Son deuxième court métrage, « The Porn Selector » (2024) a été sélectionné à New Directors/New Films au MoMA, Kurzfilm Festival Hamburg et DMZ International Documentary Film Festival.
Lou Fauroux
Orphée Films
de Lou Fauroux

Lou Fauroux (née en 1998 à Mulhouse) développe une pratique de la vidéo et de l'installation centrée sur les technologies numériques, leurs interactions avec les humains et la manière dont ces technologies structurent les dynamiques de pouvoir actuelles et futures générées par Internet (GAFAM...) tout en spéculant sur ses failles et sa chute potentielle. Son premier court métrage « WhatRemains, Genesis » (2023) a été présenté au Cinéma du Réel. Son deuxième court métrage, « The Porn Selector » (2024) a été sélectionné à New Directors/New Films au MoMA, Kurzfilm Festival Hamburg et DMZ International Documentary Film Festival.