La proie et l'ombre
de CATASTROPHE
En présence de l’équipe du film
Hors Compétition 2025
Synopsis officiel
Sortie de scène. Les quatre membres du groupe Catastrophe, de retour en coulisses, surprennent un chant d’oiseau rare, qu’ils enregistrent au dictaphone. Cette prise de son les téléporte dans un lieu imaginaire. Un lieu régi par les forces de leur inconscient. Une forêt obscure, qui jouxte un village. Dans cet univers rural, l’arrivée du groupe agit alors comme un révélateur. Les habitants se mettent à avoir des attitudes à la fois plus étranges et plus vraies. Un couple danse son désir, une fille se confesse à son père, deux hommes s’affrontent dos à dos... Autant de visions surnaturelles et sensibles, qui créent du lien entre musique, danse et image.
Biographie/filmographie
Dans la forêt du monde, aux aguets, Catastrophe traque la lumière. Né en 2016, le groupe n’a cessé de se réinventer : aujourd’hui à quatre voix (Carol, Pierre, Arthur et Blandine), il présente un nouveau disque ciselé, délicat et menacé, qui tient de la pop contemporaine comme de la fresque cinématographique. Après La nuit est encore jeune (2018, label Tricatel) et GONG! (2020, ibid), véritable explosion de joie collective, ce nouvel ovni plonge dans les profondeurs de l’intropection : la pop française s’y pare d’une gravité troublante.
Carol Teillard D’Eyry
Catastrophe (Blandine Rinkel, Arthur Navellou, Pierre Jouan, Carol Teillard
D’Eyry), Clara Bretheau, Clément Gyselinck, Philippe Mesia, Noëlle Simonet, Eric
Stieffatre
Tricatel
de CATASTROPHE
Dans la forêt du monde, aux aguets, Catastrophe traque la lumière. Né en 2016, le groupe n’a cessé de se réinventer : aujourd’hui à quatre voix (Carol, Pierre, Arthur et Blandine), il présente un nouveau disque ciselé, délicat et menacé, qui tient de la pop contemporaine comme de la fresque cinématographique. Après La nuit est encore jeune (2018, label Tricatel) et GONG! (2020, ibid), véritable explosion de joie collective, ce nouvel ovni plonge dans les profondeurs de l’intropection : la pop française s’y pare d’une gravité troublante.